Vous avez manqué la première partie, allez lire ICI.

Après avoir rejoint mes appartements, je relaxe sur un lit en zappant les émissions sur la télé satellite qui nous était offert.  Quelques chaînes érotiques me remettent en appétit.  La chambre est décorée au style médiéval avec un très grand lit baldaquin.

Je me remets à penser aux prises de la journée.  Bien hâte de m’amuser avec elles! Surtout avec ma belle noire! J’ai des plans particuliers avec elle…

L’on frappe à ma porte et on me signale d’une voix forte au travers de celle-ci que le banquet va débuter dans 15 minutes puis le cognement se fit d’une porte à l’autre et s’éloignant et longeant le couloir.

Je pris une douche, m’asséchai, mis une eau de toilette puis j’enfilai un peignoir chic en soie noire, accoutrement assigné pour la soirée.  Rien en dessous, ça permettra de s’amuser un peu durant le repas…

On cogna à nouveau à ma porte pour signaler que tout était prêt.  J’ouvris la porte pour y voir un majordome vêtu d’un tuxedo noir, chemise et gants blanc immaculé et nœud papillon.  Il était flanqué de mes prises dont il tenait une chaîne qui les attachait par un collier chromé l’une à l’autre par un anneau au-devant du collier. Elles étaient vêtues d’une toge blanche semi-transparente qui laissait entrevoir qu’elles ne portaient rien d’autre sauf la ceinture de chasteté posée initialement lors de la chasse.  Le majordome me fit signe de passer devant en indiquant la direction à suivre dans un geste gracieux de ces mains tout en inclinant son corps légèrement vers l’avant.  La classe!

Ainsi donc tous les chasseurs se dirigeaient vers la salle de banquet suivit de leurs prises.  En entrant dans l’immense salle de banquet, elle aussi décorée de style médiévale avec quelques trophées de chasse accrochés au mur dont celui qui était le plus imposant, une tête de grizzli qui pendait au-dessus du fauteuil de notre hôte dont ce dernier se tient debout verre en main attendant que tous les chasseurs leur soit assigné leur place.  Puis il leva son verre et fit un toast pour la bonne chasse que nous venions de faire et nous invite à s’asseoir et festoyer avec le somptueux repas qui nous est servi.

Pendant nous nous faisons servir par nos prises de la journée, nous contemplons les prises de tous et chacun et convoitons les prises des autres pour d’éventuel échanges.  Après le banquet, le marché d’esclaves sera fermé et plus aucun échange ne sera possible.  J’ai déjà en tête d’échanger ma blonde qui ne semble pas se plaire en ma compagnie de toute façon.  Mon asiatique me plait, mais je suis ouvert à un échange…

Il y a quelques rouquines dans la salle, dont une qui jette plusieurs regard en ma direction.  Elle a été capturée par celui qui a pris l’autre asiatique à qui j’ai offert mon foutre… serait-il intéressé par mon asiatique pour en faire la paire?  À la fin de l’entrée commencent les premiers échanges avant le prochain service.  Je vais aller lui faire une proposition.

Tout le monde a terminé leur entrée et bavardent avec leur voisin de table, mais celui avec qui je dois négocier pour la rouquine plantureuse aux cheveux longs bouclés de couleur carotte, taches de rousseur sur le nez et les pommettes, aux yeux couleur jade (j’en ai l’eau à la bouche en l’observant) est à l’autre extrémité.  Une petite cloche sonne nous signalant que l’on pouvait sortir de table pour commencer les discussion.  Je pris en laisse ma petite chinoise, va-t-il bien vouloir une autre asiatique comme jouet?

Je ne fais que trois pas quand je me fais assaillir par 4 convives qui surenchérissent pour avoir ma ravissante noire.  « Elle n’est pas disponible, je la garde! », certains me proposent toutes leurs prises contre elle.  « Désolé, elle n’est pas à vendre, je la garde, laisse-moi passer SVP ».  Je n’ai pas eu loin à faire car celui avec qui je voulais parler aussi voulais me proposer pour avoir ma panthère noire.  Je lui répète alors la même rengaine mais je lui fais ma proposition.  Il fait la sourde oreille.  Je crois qu’avec ma panthère, les négociations seront difficiles!  Ils vont presser le citron pour l’avoir!  Une cohorte de majordomes fait son apparition dans la salle avec les plateaux du deuxième service, la salade.  Le service sera court mais je vais sauter la prochaine ronde de négociations pour montrer ma fermeté sur ma protégée.

Ma salade à peine commencée je fis signe à ma déesse noire de s’approcher.  Son beau regard et son sourire plein d’écoute durant mes consignes me charmait au plus haut point.  Mais je sais que sous ce visage angélique se cachait une fauve.   Je reculai ma chaise pour m’éloigner de la table, pour laisser de la place devant moi.

« Laisse tomber ta toge par terre et viens te placer devant moi face à moi ».

Elle s’exécuta et elle se dressait devant moi, presque nue, avec comme seuls vêtements la ceinture de chasteté, le collier et les bracelets de métal.  Ses poignets étaient enchaînés à son collier par une chaîne qui pendait mais assez courte pour qu’elle ne puisse atteindre son entre-jambe.  Je fouillai dans ma poche de mon peignoir pour y retirai une clé que j’utilisai pour déverrouiller sa ceinture.  « Écarte légèrement tes jambes ».  Je lui enlevai sa ceinture et la déposai par terre à ma droite.  « Je fais de toi mon alpha, maîtresse de mes soumises.  Elles devront t’obéir autant qu’à moi.  Tes ordres seront mes ordres pour elles. »  Son corps magnifique, sa peau d’ébène parfaite et luisante rendit tous les autres convives pantois.  Des fesses bien rondes mais pas trop grosses et proportionnées avec ses minces cuisses. Une poitrine dans les 34D avec les mamelons qui pointent de façon divine dans des directions opposées et un peu vers le haut, aussi ses yeux en amande qui lui donne une allure féline.

Elle sourit timidement, baissa son regard et me remercia d’une voix toute douce puis tourna la tête pour jeter un regard aux autres soumises pour signifier sa dominance sur elles, pour qu’elles comprennent qu’elle prend son rôle au sérieux et qu’elle allait bien en profiter.

« Maintenant montre-moi comment tu sers ton Maître ».

Un grand sourire se dessina sur son visage, s’agenouilla devant moi et détacha la ceinture de mon peignoir.  Elle l’entrouvrit pour y voir mon membre semi-dressé et déjà en excitation à la vue de sa beauté.  Elle le prit délicatement en main et sorti sa langue qui vint caresser doucement mon gland avant de l’engloutir jusqu’au fond de sa gorge.  Elle fit un langoureux mouvement de va et vient sur ma verge maintenant toute durcie.  Je ne pouvais pas cligner des yeux pour ne rien manquer du spectacle qu’elle m’offrait en plus de la douce sensation qu’elle me procurait dans tout mon corps qu’avec seulement la douceur de sa langue et sa bouche.  J’étais proche de jouir quand je lui ordonnai d’arrêter et de me montrer comment elle s’empale sur membre bien dur.  Elle se retourna pour y prendre une fiole de lubrifiant sur la table, elle fit couler doucement un petit filet du liquide sur ma verge qu’elle pris le soin d’étendre partout avec sa main caressante.  Elle se retourna avec un mouvement fluide et gracieux tel un félin, déposa la fiole, plaça ses mains sur les bras de ma chaise comme appuis.  Dos à moi elle mit un pied de chaque côté de mes jambes sur la chaise et approcha ses belle fesses près de ma verge qui faisait un léger mouvement avant arrière au rythme du battement de mon cœur tellement j’étais bandé.  Elle appuya son orifice contre mon gland et doucement elle se relâcha son anus pour engloutir petit à petit mon membre en elle.  Elle prit une petite pause et un souffle quand elle l’entra tout entier en elle.  Puis elle se mit à monter descendre pour me faire sentir son anus bien serré pour me donner des frissons sur toute ma verge en jetant un regard tout souriant vers l’arrière pour me regarder.

Je lui agrippai les seins et me collai le ventre contre son dos en approchant mon plaisir.  Je la pris contre moi pour la faire basculer vers l’arrière.  Adossé à ma chaise et elle contre ma poitrine, elle ne pouvait plus faire son mouvement de va et viens mais elle fit un déhanchement pour continuer à me donner du plaisir du mieux qu’elle pouvait malgré la position restreinte que je lui avais imposé.  Je mis une main sur sa gorge et me suis mis à l’embrasser dans le cou, derrière la mâchoire et les oreilles.  Elle frissonnait de plaisir.  Je plaçai mon autre main sur sa vulve pour le lui tapoter.  Ses lèvres étaient gonflées et mouillées.  Mon plaisir montait de plus en plus.  Alors je me suis mis à la masturber avec mon majeur entre ses lèvres et la paume de ma main qui stimulait le clitoris.  Elle se mit à cambrer du dos et à grimacer.  Elle voulait jouir mais elle attendait ma permission, comme toute bonne petite chienne à son Maître.  Elle était prête mais je la fis languir un peu plus.  Elle ferma les yeux en serrant fort ses paupières, reteint sa respiration à maintes reprises, se mit à trembler. Signes qu’elle ne pouvait plus se retenir.

« MAINTENANT! » Lui dis-je d’une voix ferme.  Elle explosa momentanément et gicla sur la table et dans ma salade, je continuai jusqu’à ce que son orgasme s’arrête mais se débattit dans mes bras tellement elle jouissait intensément et longuement. Ses spasmes durèrent une bonne minute puis elle s’effondra dans mes bras en relâchant un gros râlement avec un souffle profond.  À ce moment j’étais moi aussi en extase et en train de vider mes couilles dans son cul.  Nous restions là pendant une minute avec mon membre en convulsion en elle à reprendre nos esprits.  Elle se releva et se mit à genou à côté de moi, comme une bonne petite chienne bien dressée.

En m’ouvrant finalement les yeux après avoir savouré ce plaisir intense, je voyais tous les convives bouche-bée du spectacle auquel ils venaient d’assister.  Ma fauve se pencha par terre et se mit à quatre pattes puis ordonna à ma belle blonde farouche de lui nettoyer le cul dont mon sperme s’écoulait.  Elle se plaça derrière elle et lui lécha tout ce qui s’écoula de son joli cul.  Je suis sûr que la blonde en prenait grand plaisir.  Elle me jeta un coup d’œil tout en léchant comme pour se montrer en spectacle.  Je crois qu’elle voudrait rester finalement cette petite.  Elle prenait tellement plaisir de la lécher qu’elle se mit à lui manger la vulve.  Je lui ordonnai d’arrêter mais elle ignora mon ordre.  Je me levai et pris la cravache pour lui balancer un violent coup sur une fesse.  Elle cria puis pris la position de soumission face contre terre, bras étendu devant elle.  Je lui donné un autre coup: « Tu vas regretter de ne pas m’obéir!  Tu ne penses qu’à ton propre plaisir!  Je vais te dompter à penser à celui de ton Maître avant tout! »  À ces paroles elle savait que j’allais la garder et lui faire payer.  Mes prises reprirent leurs places et je me rassis à la table un peu en colère, mais la punition sera bonne!

Mon voisin de table à ma droite me demande si je termine ma salade, je lui fais signe qu’il peut l’avoir!  Il lécha chaque feuille pour y déguster la mouille de ma fauve avant de l’engloutir et la déguster en fermant les yeux pour mieux la savourer.

Après ce spectacle, plusieurs autres convives prirent aussi avantage de leurs soumises de différentes manières.  Mais les ébats furent écourtés par l’arrivée du repas principal.  Certains continuèrent à recevoir une fellation par en dessous de la table pendant qu’ils mangent leur repas, d’autre demandèrent à deux de leurs soumises d’avoir des ébats devant eux en spectacle sur la table (certaines avec strap-on, d’autres seulement en 69 à se déguster leur chattes).  Tout était selon l’imagination et les désirs de leur Maître!

Je jetai encore des coups d’œil à la jolie rouquine pour m’apercevoir que sa consœur asiatique était en entretient avec son Maître.  Pendant qu’elle lui chuchotait à l’oreille, il jeta de coups d’œil à mon asiatique.  Elle qui a l’air réservée, petite poupée de porcelaine, teint pâle aux cheveux longs noirs de soie.  Mais elle avait tout un caractère durant l’après-midi.  Une tigresse refoulée.  Le service terminé il se leva et marche en ma direction.

– Je suis intéressé par ton offre, mais je voudrais la blonde aussi.

– C’est soit la blonde, soit l’asiatique.  Mais pas les deux.  Et même que je voudrais garder ma blonde pour lui en faire baver plus tard.  Elle va être ma soufre douleur car elle m’en a fait baver cette petite!  Ça va être sa fête!

– D’accord mais j’aimerais pouvoir goûter à ta jolie noire et lui manger la chatte sur la table au moment du dessert.

Après un moment de réflexion je serai la main de mon confrère « marché conclut ».  Il enleva la ceinture de chasteté de la rousse et moi de même sur la chinoise, on s’échangea les laisses et il reparti avec sa deuxième asiatique et moi avec la jolie rouquine dont son enchantement de cet échange ne pouvait se cacher tellement elle souriait et rougissait, qu’elle tenta de cacher tant bien que mal en baissant la tête et le regard.  Je pris une ceinture de chasteté propre sur la table et lui posai.  « Merci Ô mon Maître! » glissa-t-elle timidement.  Ma panthère était moins amusée en n’affichant aucun sourire mais elle savait qu’elle devait s’y conformer.  Et d’un autre côté la rousse lui plaisait aussi et sachant qu’elle est la alpha qu’elle va pouvoir abuser d’elle durant la soirée…

« Toi, va te préparer et mets-toi du parfum sur ta chatte, je ne lui ai pas ai pas promis que ça goûterait bon! » lui dis-je en lui faisant un clin d’œil.  Un sourire complice se dessina sur ses lèvres en baissant sa tête et me faisant des yeux doux coquins tout en acquiesçant mon ordre.

Le moment du dessert arrive et je fais d’un petit signe de la main à ma panthère d’aller rejoindre mon comparse pour terminer la transaction.  Elle se leva et marcha d’une démarche des plus aguichante au regard de tous les messieurs qui la regarda se déambuler, tête droite et regard droit devant dans le vide, faisant des virages à angle droit à chaque coin de la table pour se rendre de l’autre côté en diagonale de moi.  Il lui ordonna de se mettre à quatre pattes sur la table devant lui, chatte et cul vers lui.  Une fois en position elle tourna la tête vers moi et ses yeux se fixèrent aux miens, elle ne me lâcha pas d’une seconde tout en se faisant lécher à grands coups de langue.  Il se recula soudainement avec une grimace au visage.  Le goût amer du parfum venait de faire son effet.  Mais qu’à cela ne tienne, il trempa deux doigts dans le glaçage au fromage du gâteau au carottes qu’on venait de nous servir, puis l’étendit sur sa vulve pour se remettre à la lécher à grande langue à nouveau.  Mais ma panthère continua à me regarder avec un merveilleux sourire pendant qu’elle recevait un peu de plaisir dans son entre-jambe.  Quand il eut fini avec elle, il lui donna une petite claque sur sa fesse bien ferme et lui dit qu’il avait terminé.  Il jeta un regard un peu insatisfait et accusateur en ma direction du fait que sa chatte était amère…

Elle revint me rejoindre avec un pas un peu pressé et s’agenouilla à mes côtés. J’entrepris de manger mon gâteau et prendre mon café pour en terminer le plus rapidement possible avec ce dîner.

Une fois que tout le monde avait terminé, notre hôte et fit un petit discours de fermeture du banquet pour ensuite nous souhaiter une bonne soirée dans nos appartements.  Tout le monde se levèrent et applaudirent notre hôte.  Puis je fis signe à mes esclaves de se lever.

– « Puis-je vous faire une remarque Monsieur? » me demanda ma jolie panthère noire.

– Qu’y a-t-il?

– J’ai beaucoup aimé que vous me regardiez me faire prendre par un autre homme.  Je vous en remercie.

Il me traversa une idée comme l’éclair et sans trop réfléchir je tapai de mes mains: « VOTRE ATTENTION SVP! MESSIEURS VOTRE ATTENTION! »

Tout le monde se retournèrent et ne regardèrent, alors j’annonçai: « À MINUIT, RENDEZ-VOUS DANS LE GRAND SALON, JE VOUS OFFRE MA JOLIE PANTHÈRE EN GANG BANG.  VOUS POURREZ AMENER VOS PRISES QUE VOUS VOULEZ FAIRE PARTICIPER AUSSI. »

Tout le monde se réjouirent de la nouvelle et partirent avec de grands sourires et des rires tout en discutant.

Mon majordome s’approcha pour escorter mes esclaves.  « Je veux qu’on leur donne un bon bain chaud avec de l’huile parfumée, amuse toi un peu avec elles du même coup » lui dis-je en lançant un clin d’œil approbateur.  Il prit la laisse que je lui tendais avec un petit sourire en coin complice.

– Comme Monsieur le désir, il sera fait ainsi.

– Je les veux dans mon appartement dans une demie-heure.

– Très bien Monsieur!

Je me retournai et laissa aller mes esclaves avec mon majordome vers leur bain, pour me diriger vers mes appartement.

À suivre.