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Ma panthère pénètre dans la grande salle la première, tenue en laisse devant moi.  Sa démarche et son déhanchement sont tellement beau à regarder de par derrière.  Elle est gracieuse tout en marchant d’un pas qui démontre combien elle est sûre d’elle, malgré sa position de soumission avec le collier autour de son cou.  La soumission, elle le vivait, le respirait.  C’était ancré en son être et son bien-être dans son rôle, ça transperçait les yeux.  Le reste de ma cohorte me suivait, rattachée par une chaîne entre leurs colliers.  Ma panthère s’arrêta et mis ses mains ensembles croisées l’une sur l’autre juste en dessous de son nombril, tête légèrement baissée mais regardant vers le haut en ma direction en passant au-devant d’elle, attendant les prochaines instructions.

Je regarde la pièce vide de toutes autres personnes pour faire une reconnaissance.  Il y avait une grande cheminée où crépitait un gros feu de bois qui faisait varier aléatoirement la luminosité de la pièce dont la lumière est tamisée, éclairée par des cierges installé sur 2 grands lustres suspendus.  Les murs sont de pierre et mortier qui lui donne tout le charme médiéval des lieux.  Tout autour de la pièce recouvert de bois rustique en lambris avec un immense tapis au centre étaient disposés des fauteuils distancés l’un de l’autre pour laisser place aux esclaves aux côtés de chaque convive.  Au centre de la pièce et du grand tapis, un podium de forme rectangulaire, rembourré et couvert de cuir brun auquel plusieurs types d’attaches sont disponibles pour y attacher quelqu’un, fera office d’autel pour l’offrande que j’ai offert aux autres convives en début de soirée.

La longueur du podium est juste assez longue pour qu’on y repose confortablement la nuque jusqu’au bassin, les fesses excédant tout de même la surface.  Je tendis la laisse pour indiquer à ma panthère de me suivre.  Auprès de son autel je lui commande de s’y coucher.  Elle s’y coucha sur le dos en essayant de trouver la juste zone de confort pour son cou avec sa tête qui pend un peu dans le vide, appuyée que par la base de sa tête, un peu inclinée vers l’arrière.  Je lui attache les poignets à des sangles qui sont rattachées d’en dessous de chaque côté du centre du podium, ce qui lui immobilise les bras écartés de son corps.  Ses pieds bien posés à plat par terre, je fixe ensuite des sangles à ses chevilles qui la rattachent aux 2 coins de son autel pour lui garder les pieds bien écartés et fixés au sol. Je fixe ensuite des sangles qui originent d’en dessous de sa tête et suivent le contour du meuble pour les lui fixer en haut des mollets et en dessous des genoux, ce qui lui garde les jambes bien écartées.  Puis je fixai son collier à une petite attache en métal qui s’enfile dans un des anneaux, qui va lui empêcher de relever sa tête.

En me relevant j’aperçois mon majordome debout à l’entrée, dans la même posture qu’un soldat au garde-à-vous.
– Apporte-moi de l’huile pour le corps!
– « Tout de suite Monsieur! »  Il me répondit promptement pour disparaître aussitôt.

Je me dirigeai vers le fond de la salle pour m’asseoir confortablement sur un des fauteuils.  Mes esclaves me suivirent et se placèrent à genoux de chaque côté de moi.  J’étais dans une place de choix pour observer le spectacle de son offrande, faisant face à son côté droit. Elle s’était retourné la tête pour me regarder droit dans les yeux.  Son regard allumé en disait long sur son état.  Elle était excitée à l’idée d’être prise sauvagement par des hommes affamés de sa chair comme une simple brebis dans une meute de loups.

Le majordome arrive essoufflé avec le précieux flacon dans la main qu’il me présenta comme un objet de valeur.

– « Voila Monsieur! » dit-il en s’inclinant légèrement.
– Je te charge d’huiler tout son corps, tout! N’oublie pas son dos, ses fesses et même son visage! Je veux qu’elle soit des plus bandantes pour ses Messieurs!
– Bien Messire! Comme il en sera votre volonté!

Il ouvrit le flacon et fit couler un filet d’huile le long de ses membres, en zigzag sur son corps et un petit cercle sur ses seins et son sexe. Puis il étendit l’huile en lui massant toutes les parcelles de peau couleur chocolat qui prenait une allure laquée.

Des convives arrivaient peu à peu et prenaient place chacun à leur tour dans leur fauteuil.  Certains c’étaient approchés en restant debout pour jouir du spectacle de plus près. D’autres regardaient calmement la scène de loin bien assis.  Mais certains ont décidé de se préparer à l’action en ayant ordonné à une de leurs esclaves de leur faire une fellation ou même un spectacle de lesbiennes devant eux.  Chacun y trouvait son excitation comme il le voulait après une journée bien remplie d’ébats.

Le majordome prenait plaisir lui à sa tâche en caressant la poitrine ferme aux mamelons bien dressés. La bosse dans son pantalon trahissait son plaisir.  Puis il posa sa langue dans la fente de sa chatte bien humide.  Il ne pouvait résister d’y goûter.

– « Ça suffit! » Dis-je en tapant dans les mains pour attirer l’attention.  « Maintenant je vais parler du déroulement pour que tout se passe dans l’ordre et que tout le monde puisse avoir du plaisir! Je permets qu’on s’approche par groupe de 5 au maximum, il peut y avoir un qui s’occupe de sa bouche et un autre dans sa chatte. L’oral sur la charte est aussi permis.  Aucune relation anale, elle a déjà reçu plus qu’elle en devait dans cette partie ce soir.  Pour l’oral, pas trop profond, allez à sa limite et son rythme.  On ne veut pas d’asphyxie non plus, ce qui gâcherait la soirée!  Pour les 3 autres, vous pouvez la caresser et embrasser comme vous voulez! Dès que vous avez joui et terminé, je vous prie de vous éloigner et laisser votre place à un autre.  Pour ce qui est d’envoyer vos esclaves sur elle, ça sera pour la nettoyer de votre foutre quand vous aurez fini!  Il y aura une petite pause pour qu’elle puisse récupérer et se dégourdir avant une deuxième partie.  Merci de votre attention! »
Puis je me retourne vers mon majordome et je repris :

– Mais tout d’abord j’ai fait une promesse à mon fidèle serviteur, tu as l’honneur de débuter!

De ma main je fis signe à mes esclaves de s’approcher de lui. Elles se ruèrent vers lui et l’aidèrent à se déshabiller.  La blonde s’occupait du haut alors que la rouquine s’occupa de défaire son pantalon. Un gros membre bien dur bondit lorsqu’elle a baissé son caleçon au niveau des genoux.  Elle fixait son gros engin pendant qu’elle s’affairait à lui faire enlever complètement son pantalon.

Une fois sa tâche complétée elle ne put s’empêcher que de lui empoigner ce gros phallus qui l’impressionnait.  Puis jette un regard vers le majordome avant d’aller porter sa bouche sur son gland et lécher le bout pour déguster son lubrifiant produit de son excitation.  Il lui enfile ensuite un condom.  Il avance ensuit entre les jambes de la sacrifié, parce que la bouche, il la connaissait déjà d’en avoir déjà fait usage après le banquet.  Pour arriver à la bonne hauteur d’avec son orifice, il devait se mettre à genoux entre ses jambes musclées et luisantes tenues écartées.  Il prit son engin et frotta son gland entre ses grandes lèvres déjà bien lubrifiées en poussant légèrement pour trouver l’entrée.  Il sent que ça glisse vers l’intérieur et pousses de plus en plus.  Elle pousse un gémissement qui semble exprimer un inconfort, une légère douleur même.  Elle le refait, mais cette fois-ci en se cambrant et en fermant les yeux en grimaçant.  Et repousse un cri retenu pour se libérer d’une partie de sa douleur.  Le majordome avait refermé les yeux et entre ouvert la bouche laissant sa langue sortir un peu sur le côté.  Il était maintenant rendu bien au fond d’elle.  Il appréciait son sexe serré envelopper le sien.  Il se mit alors à faire de petits mouvements en elle qui la refit gémir.  Mais ses gémissements changeaient d’intonation.  Des gémissements plus longs, plus doux, qui indiquaient le plaisir qu’elle ressentait.  Elle gémissait et se débattait de plus en plus, et lui d’augmenter son intensité à mesure qu’il la voyait prendre plaisir de sa verge bien plantée en elle.  Elle grimaçait encore une fois, mais parce qu’elle se retenait, elle étirait son plaisir.  Elle me jette plusieurs regards en ma direction, puis retourne la tête en fermant les yeux pour mieux se concentrer pour se retenir à nouveau.  Puis un moment donné son expression a complètement changé.  Un regard de supplication qui indiquait qu’elle était rendue au bout, qu’elle ne pouvait plus se retenir, qu’elle avait perdu le contrôle.  D’un hochement de la tête je lui donnai la permission de jouir.  Un sourire rapide se dessine sur ses lèvres avant de le reperdre.  Elle poussa un grand cri incontrôlé en roulant ses yeux vers le haut et tendit tous ses membres liés.  Elle jouissait en gardant tant bien que mal ses yeux dans les miens.  Encore une fois elle me faisait offrande de sa jouissance.

Pendant ce temps, le majordome était éclaboussé de par le liquide qu’elle s’est mise à éjecter abondamment.  Il commença à grogner et se retira, arracha son condom pour éjaculer sur tout son ventre.  Ma rouquine s’avance et s’agenouille pour lui nettoyer toute sa verge avec gourmandise alors que la blonde s’affairait à tout nettoyer le sperme en le lapant avec sa langue.

Un des hommes se lève précipitamment et se jeta à genoux, sa bouche sur sa chatte pour déguster le délicieux nectar qu’elle venait de gicler.  Il léchait ses lèvres encore toutes chaudes et lubrifiées.  Il la dégustait avec une très grande appréciation les yeux fermés, comme pour mieux goûter.  Elle gémissait du contact de sa langue sur sa chatte encore sensible, haletant, tournant sa tête d’un côté et de l’autre, les yeux à moitié fermés, encore dans les vapeurs, se mordillant la lèvre.

Puis un homme se lève et se dirige vers sa tête, le lui immobilise pour lui signifier sa présence.  Sans rien qu’on ne lui dise, elle ouvre toute grande la bouche et incline sa tête vers l’arrière. Il laisse tomber son peignoir, s’incline pour poser ses mains de chaque côté de l’abdomen de la panthère et présente son membre à demi dressé devant sa bouche avant de l’y engloutir.  Elle referme ses lèvres charnues sur son membre qui durcit à grande vitesse au contact de la chaleur et l’humidité de sa bouche.  Il pousse sa verge au plus profond pour tester sa résistance et son endurance pendant quelques secondes puis se retire, satisfait du fait qu’elle n’a pas réagi.  Puis commence un coït langoureux.  Deux autres comparses se levèrent et se mirent à genoux de chaque côté pour la caresser d’une main la hanche et les cuisses couleur chocolat laqué et de l’autre lui pétrir chacun un sein en lui pinçant légèrement les mamelons.

L’homme qui la dégustait se redressa sur ses genoux et détacha son peignoir, l’entrouvrit, prit son membre en main pour appuyer son gland contre ses lèvres et l’enfonça d’un coup avec violence.  Puis un autre coup, et un autre, tout en augmentant la cadence.  Sa face était sévère, grimaçante, comme s’il était rempli de haine.  Il frappait de plus en plus fort en grognant, regard droit devant sur son visage pour voir sa réaction.  Elle lâchait de petits cris à chaque coup, mais toujours affairée à servir le membre qui lui envahissait la bouche jusque dans la gorge.  Il se mit alors à la défoncer comme un déchaîné, agrippant ses hanches de ses mains, avant de lâcher un long grognement en se tenant enfoncé en elle pour ensuite donner un autre bon coup, puis un autre en lâchant un dernier grognement avant de se retirer et se relever péniblement, lentement et rejoindre son siège.  Il avait respecté les règles car on voyait qu’il avait porté un condom, pendant sur sa verge ramollie, rempli de son foutre.

Je sifflai pour que cesse toute activité et tous étaient à mon écoute.

– Je crois que pour mieux prendre cette petite chienne, elle doit prendre la position appropriée, c’est-à-dire à quatre pattes!  Qu’on la détache et qu’on la replace, mains et pieds attachés aux quatre coins du podium.

Mon majordome et les autres comparses déjà présents autour d’elle s’exécutèrent tout en approuvant mon choix.  Maintenant elle était à portée d’être utilisée tout en restant débout, autant devant que par derrière.  Mon majordome recula vers une armoire au coin de la pièce et revint avec un amas de lanière de cuir qu’il jeta par terre avant de les séparer et démêler.  Il y a avait un harnais tout en lanière de cuir entrecroisé qui s’attachent par des sangles dans le dos et autour de l’aine, auquel il y a des anneaux et des poignées rattachés autour de la taille du harnais.  On pourra s’y agripper fermement pour contrôler la pénétration et la force qu’on veut y donner.  Il y avait aussi un harnais qui se rattache à la tête qui avec également des anneaux de métal pour avoir un contrôle sur sa tête.  Il y avait aussi un large collier en cuir et une laisse.  Les comparses l’aidèrent la enfiler le tout à notre petite chienne de la soirée.

Les hommes défilèrent tour à tour pour s’amuser avec la panthère, ainsi que leurs soumises pour faire le nettoyage.  Elle fût d’une soumission exemplaire durant toute la soirée, sauf au moment de sa capture.  Elle était une fauve farouche qui ne voulait pas se laisser prendre ni se laisser faire.  Et je crois qu’elle voulait donner du fil à retorde à son prédateur pour que seul celui qui saurait la déjouer et la capturer serait digne qu’elle s’y soumette inconditionnellement.  Ce qu’elle fit avec grand plaisir et librement avec moi.

Nous gardions le contact aussi souvent qu’elle le pouvait, quand elle n’était pas forcée à prendre une verge plein la gorge.  Elle me faisait bien sentir qu’elle se donnait entièrement à la virilité de tous ces hommes, pour moi.

Nous vîmes au moment où toutes les couilles étaient vidées, que tous les convives étaient assis à leur place épuisés.  C’est alors qu’un puissant cognement contre la grande porte de bois se fit entendre et entra une cohorte de majordomes qui enfilèrent une chaîne aux colliers des esclaves qui furent rassemblées ensemble, auquel ma panthère rejoignit après avoir été détachée.  Elles quittèrent ensuite la pièce lentement.  Ma panthère n’était plus mienne.  D’un regard triste elle suivait le mien le plus longtemps qu’elle put.  Puis elle disparut de ma vue…  C’est alors que l’on nous invita à regagner nos chambres pour la nuit.

Après une bonne douche, je rejoignis le lit sous les couvertures douillettes. J’avais de la difficulté à trouver le sommeil malgré le confort divin.  Pleins d’images, de sons et d’odeurs rejouaient dans ma tête.  Mais je faisais souvent pause sur image sur toutes les fois qu’elle m’a regardé dans les yeux.  Un regard qu’on aurait dit plein d’admiration, et d’offrande en même temps… Quand elle me regardait pour la première fois après sa capture.  Quand je la regardais quand je refusais tout offre pour elle au marcher des échanges.  Quand je l’avais prêtée à un autre convive sur la table.  Dans la chambre durant nos séances de domination et soumission entre elles.  Quand elle était offerte en sacrifice à la meute de loup affamée de la brebis inoffensive qu’elle était.  Elle me regardait.  Pour s’offrir à moi, pour avoir mon approbation, mon soutien et sentir que j’étais là pour elle.

Je finis par m’endormir et à rêver d’elle.  Puis au matin j’ouvris l’œil péniblement à cause de la lumière du soleil qui inondait la pièce.  Je la cherchais, encore à moitié dans mes rêves en la croyant enchaînée au pied du lit pour revenir à la réalité et constater qu’elle n’était plus là.  Je m’habillai, préparai ma petite valise prêt pour quitter et sortis de la chambre pour aller dans la grande salle en compagnie des autres convives qui sont déjà en train de casser la croûte avant de quitter.  À mon entrée dans la salle j’entendis des applaudissements.  Je m’aperçue qu’ils m’étaient adressés.  Je recevais des remerciements de tous et chacun.  Tout le monde avait apprécié leur fin de soirée.  Ce qui ne m’aidait pas car ça me ramenait les souvenirs de la veille et les regrets du matin qu’elle ne soit plus là.

Durant mon repas j’étais pensif, écoutant à gauche et à droite les différentes conversations.  Mais je pensais surtout à savoir si elle avait tenté de me laisser ses coordonnées.  Ce qui était strictement interdit de part et d’autre pour cette activité.  Si un participant, femme ou homme, était pris en défaut, il ou elle était bannis pour la vie à tout autres événements dont cette partie de chasse annuelle.  Donc il était très risqué de le faire.  Même en dehors, les comptes de réseaux sociaux des participants sont scrutés à la loupe pour toute tentative de reprise de contact.  Mais je me demandais si elle l’avait fait, à quel moment et par quel moyen elle aurait pu s’y prendre.  Mais elle a été occupée et à la vue de beaucoup de témoins tout le temps.  Plus j’y pensais, plus je perdais espoir.

Je termine mon repas que je n’ai quasiment pas touché.  Je crois que mon visage était un livre ouvert, tout le monde voyait que je n’étais pas mon assiette, et la raison n’était pas difficile à deviner non plus!  Je retourne à ma chambre et je constate que la literie avait déjà été changée et la chambre nettoyée! Je me dis en dedans de moi :
– Ha oui c’est vrai!  Ils ont fait une fouille de fond en comble pour chercher si des indices avaient été laissés dans nos chambres, par les soumises!

Ils prennent beaucoup de précautions malgré que toutes les pièces étaient filmées en tout temps et que le bandes vidéos allaient être révisées.  Ça faisait partie du contrat qu’on devait signer pour être admis.  J’entrouvre mon bagage pour constater que mes vêtements sont un peu déplacés.  Je le refermai, regardai pour une dernière fois la pièce équipée pour une bonne partie de plaisir!  Je pris mon bagage en main et partis.

De retour à la maison après quelques heures de route, je rentrai à l’intérieur de mon appartement, lâche mon bagage près de l’entrée et je me laisse tomber sur le divan, mains au visage.  Je n’ai pas pu penser à autre chose qu’à elle.  Décidément elle m’est rentré dans la peau!

J’ai évalué et soupesé plusieurs stratagèmes pour la retrouver et entrer en contact avec elle. Toutes risquées qui pourraient me priver de mon activité préférée.  Mais elle en vaut la peine au point de de m’en priver.  Mais si après coup elle revient à la vie normale et qu’elle m’oublie et n’est pas intéressé par moi par la suite?

Je me lève pour me changer les idées, pour chasser ces idées noires qui me déplaisent.  Je décide alors de défaire mon bagage et ranger mes vêtements.  Se faisant, un carton plié en deux tombe par terre.  Le son de son impact au sol m’intrigue et je l’aperçois.  Je le ramasse et l’examine. Il n’y a rien d’écrit dessus, alors je l’ouvre pour y lire un mot écrit à la main.

« Bonjour Monsieur, 
Mon nom est Charles, votre majordome.  Je tenais à vous remercier du privilège que vous m’avez accordé! J’ai vraiment apprécié! C’est la première fois qu’on m’accorde ce privilège.  Les règles nous permettent de participer sur invitation seulement, et j’ai également été le seul à avoir eu ce privilège cette année!

J’ai remarqué la connexion que vous aviez avec la fauve noire.  J’en ai vu que très rarement et il est très dommage que les règles ne permettent pas que vous la revoyez!  J’espère que vous irez bien et en souhaitant de vous revoir l’an prochain!

Bien à vous! 
Charles « 

Bien gentil de sa part mais il n’aidait en rien à mon humeur!  Surtout en me rappelant le lien que l’on avait.  Je terminai de ranger mes vêtements et redescendis.  Je m’ouvris une bouteille de rouge et entrepris de me faire à dîner…  Pâtes aux fruits de mer ce sera!  Puis on sonne à la porte!  Je n’ai pas envie d’être dérangé.  Puis ça sonne à nouveau.  Je décide d’aller voir.  J’ouvre la porte et elle est dressée là, tête baissée mais le regard relevé!  Elle relève sa tête en souriant.

– Je suis Vôtre!

– Merci Charles!!!

Panthère

Panthère