Mots-clés

, , , , , , , , , , ,

La cloche se mit à résonner au loin avec son écho aux profondeurs de la forêt. Le signal est donné, la chasse est ouverte!

C’est à ce signal que les chasseurs sortent chacun de leurs cabanes disposés en rond autour du territoire de chasse où ils sont confinés jusqu’au début de la chasse, mais c’est aussi le signal aux « proies » de sortir de leur tanière située en plein centre du territoire pour s’enfuir et se cacher du mieux qu’elles le peuvent.

Les « proies » de la chasse ne sont vêtues que de bottes brunes de cuir et d’un bikini au motif de camouflage de chasse vert.  Elles sont belles, racées, de 18 à 40 ans, sélectionnées par un jury pour pouvoir participer à cette chasse.  Elles sont une vingtaine pour huit chasseurs, dont 3 sont de race noire, 3 asiatiques, 1 indienne et dans les 13 autres caucasiennes, il y a 5 blondes, 5 brunes, 2 rousses et 1 aux cheveux noirs comme le charbon.  Elles sont de différentes formes corporelles, bref il y en a pour tous les goûts!

Chaque chasseur est assigné une couleur pour l’identifier et identifier ses prises. Équipé d’un fusil de balles de peinture, de bracelets, de ceintures de chasteté, de corde et chaînes, tous de de la couleur du chasseur.  Le tout est fourni dans un pack sac encore de la couleur du chasseur à part le fusil de balles de peinture.

Les règles sont les suivantes: le chasseur peut capturer autant de prises qu’il peut, pas de limite.  La prise faite, il doit l’attacher à un arbre le plus près avant de continuer sa chasse et signaler son emplacement pour récupérer les prises plus tard.  Mais il doit en garder une disponible aux autres chasseurs qui peuvent la rencontrer pour qu’ils puissent l’utiliser pour s’assouvir.  Les chasseurs qui le feront doivent apposer un collant de leur couleur dessus son dos.  Comme ça on saura si elle aura été utilisée.  Pour les autres le chasseur peut leur apposer une ceinture de chasteté et un gag, les protégeant des autres chasseurs. Mais les autres chasseurs peuvent apposer tout de même un collant sur celle-ci pour démontrer leur intérêt envers cette prise.  Pourquoi cet étiquetage? Parce qu’après la chasse, les chasseurs peuvent mettre disponibles ses prises sur un marché d’échange.  Une fois la prise sécurisée à l’arbre, le chasseur doit signaler d’un coup de sirène qu’il a fait une prise.

Lorsqu’une proie est touchée d’une balle de peinture, elle doit s’immobiliser et se mettre à genoux les mains sur la tête, sous peine de recevoir d’autres projectiles douloureux si elle ne s’exécute pas!  Le chasseur regarde la prise et peut décider de son sort et peut même la prendre sur le champs (qui peut causer l’inconvénient de perdre du temps pour faire d’autre prises) ou non.  Lorsque le 20e coup de sirène est sonné des cloches se mettent à sonner pour indiquer la fin de la chasse.

Alors donc je sorti de ma cabane après une dernière gorgée de café chaude, pris mon sac sur le dos, mon arme en main et parti à la recherche de ma première proie…

Je marchai lentement dans le bois me dirigeant vers le centre car il y avait plus de chance d’en rencontrer une qui se dirige s’éloignant du centre.  Mon ouïe était à l’affût du moindre son de pas dans les branches.  Un pas de course ou rapide indique la présence d’une proie en fuite cherchant à se cacher.  C’est justement ce que je repérai et elle pouvait difficilement camoufler son essoufflement.  Je m’accroupi pour me cacher quelque peu et scruta au travers des branches pour voir si je pouvais l’apercevoir puis écoutai pour repérer de quel direction le son provenait.  Elle approche!  Ça y est je la vois!  Une noire bien plantureuse, jeune et peau très foncée! Comme je les aime!  Probablement une Sénégalaise ou de Côte d’Ivoire…  Une peau noire luisante qui fait bander.

Elle s’approcha de plus en plus d’un pas rythmé fixant le sol pour ne pas perdre pied sur le terrain accidenté levant les yeux de temps à autre.  Et puis elle me vit! Contact yeux dans le yeux!  Elle s’arrêta prise de panique et tourna à ma droite à 90 degrés!  Je me levai et parti à sa poursuite.  Je savais qu’elle se dirigeait directement dans un petit vallon où elle n’avait pas le choix de ralentir pour le descendre ou si elle est intelligente, changer de direction en le longeant et en s’éloignant de moi.  Je la vis s’arrêter et hésiter, elle l’a déjà rejoint.  Elle prit une second pour prendre une décision, qui fut la mauvaise et se mit à descendre le vallon pour le traverser.

Quand j’arrivai au vallon elle avait atteint le fond et se mit à le longer d’en bas dans la direction pour s’éloigner de moi, mais elle prit tellement de retard sur moi qu’elle était à portée de tir (100 pieds).  Deux coups rapide en sa direction, touchée à l’épaule gauche et à la fesse droite et cria de douleur de l’impact des balles de peinture.  Le vert de couleur jade sur sa peau foncé lui allait bien… Elle s’agenouilla ensuite et mains sur la tête.  Elle n’a pas voulu résister et subir le pincement de d’autres balles.

Je lui mis le collier vert au cou, lui pris le menton dans ma main et lui levai la tête pour qu’elle me fixe dans les yeux.

– « Toi tu es mienne, je ne te laisserai pas aller! »

– « Comme Monsieur le désire! » me dit-elle avec un sourire en coin aux lèvres.

Je lui passai les menottes aux poignets derrière le dos, la relevai, lui mit la ceinture de chasteté autour de la taille et entre les jambes et mit le cadenas bien en place et plaçai la clé bien en sécurité dans ma poche de chemise.  Je lui accrochai un chaîne à son collier et la traîna en haut du vallon pour trouver l’arbre les plus près une fois en haut.  Tout en marchant vers le haut 2 coups de sirènes se firent sonner.  « Déjà 2 de prises plus la mienne  ça fait 3 ». Rendu en haut j’attachai la chaîne autour de l’arbre et sonna ma sirène pour signaler ma prise.

Lors de chaque prise, le chasseur active un bouton sur une application sur son téléphone intelligent pour enregistrer les coordonnés où chaque prise a été attaché.  Je marquai donc la position de ma prise qui signala sa position aux organisateurs.

Je repris mon chemin tout de suite après avoir infligé une bonne claque sur les fesses de ma prise pour lui montrer à qui elle avait affaire.  Elle gémit un petit peu les yeux fermés puis les rouvrit pour me regarder avec un regard allumé et coquin de pouvoir continuer très bientôt ce petit jeu…

Je décidai de partir en sens contraire vers l’extérieur du territoire (elles vont surement vouloir se réfugier loin du centre où tous les chasseurs se dirigent).  Après 10 minutes de marche j’aperçu au loin de l’activité.  Une soumise qui essayait de détacher une autre déjà captive?  Je profitai de m’approcher doucement d’elles ayant leur attention bien fixé sur cette tâche veine.  Rendu en distance de porter je vis que c’était une très belle asiatique qui aidait l’autre! « C’est mon jour de chance! »  Je la mis dans ma mire bien enjoue.  M’avança doucement et fit craquer une branche! « Crac! »

La captive se mit à crier pour aider celle qui essayait de la libérer!  Elle prit la fuite sans prendre la peine de visualiser ma position.  Je tire 4 coups successifs pour finalement la toucher derrière la cuisse qui la fit trébucher et se rouler dans les feuilles mortes.  Je partis à sa rencontre.  Elle mit un temps à se relever, je l’agrippai par le bras pour l’aider.  Je lui passai le collier et les menottes… mais pas la ceinture.

« Tu vas servir d’exemple à ton amie, tu vas te faire baiser sous ses yeux! Par moi et d’autres chasseurs dans les alentours!  Je vais même mettre un émetteur sonore pour qu’ils te trouvent facilement toi et ton amie! »

Je l’amenai l’attacher au même arbre que son amie qui avait un regard désolé pour sa libératrice.  Je baissai sa culotte, lui donnai quelques claques sur ses fesses blanches comme le lait qui devinrent facilement rougeâtre.  Je baissai mon pantalon et ma culotte et en sorti ma verge bien durci par l’excitation de la scène de la baiser devant son amie impuissante.  Je me plaçai derrière elle, la penchai par devant, poignets attachés à l’arbre par devant, la pénétrai d’un coup ce qui lui fit lâcher un cri.  Je pris ses seins dans mes mains et me mis à la harponner solidement.  Je voulais atteindre mon plaisir au plus vite pour ne pas trop perdre de temps précieux pour trouver d’autres prises.  Ce faisant quelques autres coups de sirène se firent sonner indiquant par le fait même qu’il y avait de moins en moins de proies en liberté!  En fixant les yeux de l’autre captive à nos côtés, je mis plus d’ardeurs dans mes coups de bassin et en voyant la lueur de luxure dans ses yeux ainsi que les gémissements de celle que j’utilisais pour m’assouvir je sentis ma jouissance monter!  Toujours en fixant des yeux l’autre captive je lui demandai « tu as envie de goûter à mon foutre? »  Elle répondit par l’affirmative de la tête avec un regard surpris mais aussi d’anticipation en se léchant les lèvres.  Je sentis le point de non-retour arriver, me retirai de ma catin et m’approchai de l’autre qui ouvrit toute grande la bouche en se penchant du mieux qu’elle le pu pour recevoir mon offrande.  Elle reçut le premier jet en plein front et les autres moins fort directement sur la langue.  Quand je fus fini elle referma la bouche et avala le tout en se délectant.  Ma catin s’approcha de son visage et lécha ce qui lui coulait dans le visage.  Puisque je venais d’utiliser la prise disponible d’un autre chasseur, je lui apposai un étiquette de couleur verte sur son dos.  Je remis mon pantalon, plantai un petit appareil émetteur sonore au sol, signalai ma sirène pour signaler ma prise, marqua la position sur mon téléphone et repartis rapidement pour ne pas perdre trop de temps… « Au plaisir les filles! »

Je décidai de longer la bordure du territoire de chasse à la recherche d’une autre prise.  Quelques autre sirènes se firent entendre pendant ce temps dont la dernière en fit sursauter une.  Du moins ce que j’ai cru voir.  Un petit cri retenu et un petit mouvement de sursaut au travers des branches et des troncs menus de cette partie de forêt peuplée de jeunes et minces bouleaux.  Elle semble faire son bout de chemin vers moi, je décidai de la laisser venir vers moi pour ne pas faire de bruit.  Je m’accroupis pour être le moins visible possible et je la mis dans ma mire en attendant le moment pour tirer. C’était une belle brune aux cheveux longs bouclés, pas très grande, probablement 5 pieds 4 pouces, belle hanches et fesses avec de belles courbes aux bons endroits, et une belle poitrine 36 C je dirais… « Approche, approche encore, vient pas ici… » Au moment où la ligne de tir est parfaitement dégagée et qu’elle devient à proximité à proximité, j’appuie sur la gâchette.

« Pan! Pan! »

Deux coups?  Je n’en ai tiré qu’un! Et je m’aperçus que la proie est tachée de vert et de jaune! « Un autre l’a tiré en même temps! » Je regardai autour de moi pour voir l’autre chasseur s’en venir en courant vers elle qui s’est déjà agenouillée par terre. Je me levis et partis à courir à mon tour vers elle et nous arrivâmes en même temps!

– « Je l’ai tiré en premier! » dis-je à l’autre chasseur.

– « Pas du tout c’est moi! et ça fait 5 minutes que je la traque! »

L’argumentation à qui elle revenait dura quelques minutes sans issus quand j’eu tout à coup une idée!

– « Combien de prises as-tu fait? » je lui demande.

– « Aucune, c’est ma première! »

– « Ok je vais te faire un marché, j’ai déjà 2 prises donc je te la laisse mais à une condition… »

– « Laquelle? »

– « On la baise tous les deux ici maintenant, et après je te la laisse! »

Il réfléchit quelque seconde mais un sourire en coin se dessinait déjà sur son visage.

– « D’accord, j’accepte!  Comme ça elle sera à nous deux pour l’instant et après elle sera mienne! »

– « Et c’est moi qui la prend dans son cul! »

– « OK ok, je le laisse son beau petit cul!, je l’aurai de toute façon toute la nuit après! »

-« Marché conclu! »

En deux temps trois mouvement, elle était complètement nue, mains attachées en avant et bâillonnée.  Mon comparse se coucha sur le dos et baissa son pantalon exposant sa queue déjà durcie d’anticipation et fit signe à notre proie de venir au-dessus de lui, elle s’accroupit et plaça sa vulve directement au-dessus de sa verge puis elle l’enfonça en elle doucement en s’assoyant sur lui.  Elle se mit à faire des mouvements de haut en bas en râlant un peu sur sa verge toute dure.  Elle n’a aucune difficulté à le faire, sa chatte semblait déjà très lubrifiée!  Elle a été excitée par nos négociations devant elle!  Pendant qu’elle astiquait la verge de mon comparse, je tentais autant bien que mal d’insérer un doigt dans son anus.  Doigt que je lubrifiais de temps à autre de sa mouille laissée sur la verge qu’elle empalait!  Une fois le doigt bien inséré, elle ralentit la cadence pour me laisser une chance de la travailler comme il faut pour la dilater.  Puis ce fut 2 doigts, et puis 3.  À chaque nouveau doigt en elle, elle ralentissait l’amplitude et le rythme de la cadence.  Elle est maintenant prête.  Avec ma main sur ses reins je lui indiquai d’arrêter de bouger et de se cambrer vers l’avant.  Je présente mon gland près de l’orifice juste avant d’enlever mes doigt d’en elle.  Aussitôt retirés je pousse mon gland sur l’ouverture pour que l’anus n’ait pas le temps de se refermer, puis elle avala toute ma queue graduellement toute entière en soupirant un gémissement rendu au fond.  Après une courte pause je commençai un langoureux va et vient qui la fit râler en retenu doucement.  Puis je gagne un peu de rythme qu’elle repris d’elle-même graduellement par la suite pour finalement m’immobiliser et la laisser travailler pour satisfaire deux queues serrées ensembles en elle.  Pour donner du piquant je lui donne des fessées sur les fesses bien en chair en alterné.  Le rebondissement dans la chair m’excite beaucoup, de plus que la chair prend une couleur rosée.  Plus j’insiste sur le même endroit, une complainte se fait sentir dans sa voix, un signe de protestation mais qui dit également qu’elle en veut plus!  La tension monte pour nous tous et elle met plus de vigueur dans son va et vient j’en frappe avec force nos pubis à moi et mon comparse.  Il lui agrippa sa tignasse par en arrière pour lui relever la tête et lui grogna au visage « défonce nos deux queues ma salope! ».  À ces mots son expression facial changea et ouvrit sa bouche en gémissant,  l’orgasme montait en elle!  Je mis mes deux mains autour de sa gorge et me mis à lui frapper ses belle fesses de mes hanche avec force tout en grognant.  Moi aussi je voulais mon orgasme au plus vite! La chasse n’est pas terminée!  Pis elle se mit à crier de tous ses poumons et un flot de liquide chaud, clair et visqueux s’écoula sur la verge de mon comparse.  Au son de cet orgasme intense le mien se déclencha pour me vider dans son cul!

– « Quelle salope! Je suis tout détrempé! »

– « C’est maintenant TA salope! »

Avant de les quitter je la regardai dans les yeux pour voir combien elle a été satisfaite de son expérience, et son regard en disait long que c’était le cas.  Un regard affamé qui disait en vouloir encore.  Puis elle reçut une claque au visage pour la ramener sur terre avant de se faire apposer le collier.

En m’éloignant j’entendis la sirène sonner pour annoncer la première capture de mon comparse.

Je repartis dans la direction vers le centre.   Je ne rencontrai aucune proie (du moins je n’en ai pas vu).  Pendant un bon moment aucune sirène ne se faisait entendre… C’est le moment où il en reste très peu et difficile à trouver!  Quelques temps plus tard je rejoignis le centre du territoire et vit la tanière d’où sont partie les proies.  Je fis doucement le tour avec un œil vif tout autour de moi.  Ma vision périphérique a détecté un mouvement au travers d’une des portes grillagée.  Seul endroit où l’on peut voir de l’intérieur de la prison sombre de briques en béton.  Je fis comme si je n’avais rien vu et passa mon chemin pour m’éloigner quelque peu pour ensuite me poster bien en vue de la porte, arme en joue.  J’attendis.  Je lui aperçus une partie du visage quand elle jeta un coup d’œil discret à l’extérieur.  Une jolie blonde au regard angélique.  Elle mit la main sur le bord de la porte, sortit toute sa tête pour mieux regarder dans les alentours.  Se croyant seule elle sortit doucement de sa tanière se pensant en danger quand elle m’a aperçu plus tôt.  Au moment précis où elle allait partir à courir pour trouver un nouveau refuge j’appuyai sur la gâchette.  Coup direct sur la cuisse gauche.  Son expression faciale de déception mélangée avec la douleur du pincement de l’impact se dessine sur son visage.  Elle jeta un coup d’œil à sa cuisse touchée puis leva son regard pour trouver son prédateur.  Elle me vit debout à une bonne distance d’elle, arme en main pointant vers le ciel.  Elle essuya la peinture de sa cuisse et se mit à courir!  Une rebelle celle-là!  Je me mis aussitôt à sa poursuite.  Mais elle court comme une gazelle!  Voir sa chair rebondir et se tendre au ralentit dans ma tête à chaque pas de course qu’elle faisait était sublime à voir!  Mais elle prenait un peu trop de distance de moi que je pouvais la perdre.  Je tirai un tirant tout en courant mais je manquais ma cible.  Je m’arrêtai rapidement, visai la tête pour atteindre le dos dû à la distance et la faible puissance de tir de ce genre d’arme. J’arrête ma respiration. Je la suis attentivement.  J’appuie sur la gâchette, elle reçoit le coup sur les reins qui la fit se plier par en arrière puis tomber par terre.  Je partis en courant pour aller la rejoindre.  Elle avait la main qui tenait son dos pour atténuer sa douleur, mais tentait de se relever.  Elle tomba à genoux et leva les mains sur sa tête en signe de soumission.  Je la rejoignis et lui passa les menottes pour attacher ses mains dans son dos.  Lui posai le collier alors qu’elle me regardait d’un air rancunier et résigné.  Je plaçai ma main sur sa mâchoire pour tourner sa tête vers moi, qu’elle mette son regard dans le miens…  « Tu aimes donner du fil à retorde toi!  Avec tes belles rondeurs et tes beaux yeux, tu feras une belle monnaie d’échange car des filles comme toi, je ne vais pas dépenser de l’énergie pour te mater et te rendre docile! Du moins pas aujourd’hui!  La journée a été assez dure comme ça! »

Je pris la sirène en main et signalai ma 3e prise.  Les cloches se mirent à sonner.  J’ai donc pris la dernière proie.  C’est la fin de la chasse! Une cohorte d’hommes en véhicules tout-terrain part avec leur GPS récupérer les prises aux endroits précédemment marqués pour les ramener au grand chalet pour qu’elles soient lavées et préparées pour la soirée qui les attend.

À suivre.