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Cette nouvelle est écrite en ayant en tête deux personnes à qui ce scénario est leur fantasme (mais pas exactement comme cette histoire, j’y ai mis ma touche personnelle).

Tout est en place.  Je suis dans une église abandonnée qui sera bientôt rasé pour devenir une tour à condominiums.  Il y a encore quelques bancs et l’autel.  Surplombe encore un immense crucifix derrière l’autel mais les lieux sont plutôt en état de décrépitude.  De chaque côté de cet autel brûle deux grands cierges que j’y ai installé ainsi que de petite lampions installés au 4 coins de l’autel qui fournit un éclairage tamisé mais offre également un atmosphère un peu lugubre.

Je lui ai donné rendez-vous à minuit, de se rendre à pied pour ne pas attirer l’attention et d’entrer par la porte de côté qui est la seule qui n’est pas verrouillée.  La porte grince, la voilà.  Elle entre d’un pas hésitant, elle me cherche dans la noirceur mais en vain.

« Déshabille toi là, enlève tout et agenouille toi. »

Elle semblait intimidée par le décor qui semblait lui glacer les veines.  C’est avec lenteur qu’elle se déshabillait tout en jetant un regard tout autour d’elle pour se familiariser aux environs avec sa vue qui s’adapte de plus en plus à l’éclairage de fortune des cierges.

Maintenant nue elle tasse ses vêtement derrière elle d’une mouvement de pied puis elle agenouille.

« Maintenant face contre terre, mains devant, cambre ton dos, je veux voir se cul et se chatte pointer bien haut pour que je puis inspecter. »

Elle s’exécuta cette fois-ci avec plus d’empressement.  Elle s’imprégnait de plus en plus dans sa soumission.

« Très bien, tu es une bonne petite chienne.  Très docile.  Mais qui sera punie pour les péchés qu’elle a commis! »

Je m’approchai d’elle, lui mis 2 bracelets en aciers attachés ensembles autour des poignets qui sont posés par terre devant elle.  Puis je me dirigeai derrière elle et lui glissai le bout de ma cravache sur sa chatte puis j’inspectai la lanière de cuir pour y constater qu’elle est  mouillée.  Je lui décochai un coup vif de ma cravache sur la fesse droite puis sur la fesse gauche.  Elle lâcha un petite cri aiguë étouffé et la forme de la lanière de cuir se dessina rapidement sur ses fesses.

« Tu es une petite salope, voilà ce que tu es.  Tu seras punie comme telle dans ces lieux sacrés. »

Je lui posé un collier à chien autour du coup et l’empoigna pour tirer dessus.  Elle n’a pas eu aucun choix de se lever et me suivre pour ne pas être étranglée par le collier.  Je l’amenai devant l’autel et face au crucifix lui tirai les cheveux pour lui faire basculer la tête vers l’arrière.

« Regarde là haut!  C’est pour lui que tu seras punie.  Parce que tu es une petite salope qui ne pense qu’à son plaisir charnel!  Je vais te punir et te prendre en offrande pour le tout puissant! »

J’installai d’autres bracelets en acier à ses chevilles, installai des chaînes à ses poignets.  Je la grimpai sur l’autel pour être sur le ventre bras devant et pied pendants.  Tirai la chaîne par devant que je descendis vers le bas pour retourner vers l’arrière pour les relier à ses pieds et de manière que ses jambes soient écartées.  Je pris mon martinet de cuir auquel chaque lanière se termine par un nœud.

« Es-tu prête à souffrir pour ton Maître? »  Ce n’était pas vraiment une question mais plutôt un avertissement.

D’un mouvement ample je dirige les lanières de cuir vers la belle chair de ses fesses qui s’offraient devant moi et la rencontre fut brutale.  Elle se cambra suite à l’onde de choc qui s’est propagé en elle.  Je laissai le temps qu’elle se détende pour lui donner le prochain.  Elle se cambra encore en échappant un grognement étouffé.  Elle retenait ses cris par orgueil pour ne pas montrer qu’elle souffrait autant.  Mais que cela ne vaille, elle en avait pour 18 autres coups.  À chaque claquement la peau de ses fesses et le haut de ses cuisses devenaient de plus en plus boursouflée rougeâtre avec une petite teinte de bleu par petits points qui sont les points d’impact des nœuds.  Des ecchymoses elle va en avoir!  Elle va y penser pendant un bout de temps à sa punition dans les prochains jours en s’assoyant!  J’alterne de côté à chaque coup et au 20e je m’arrêtai.  Elle a des sueurs froides et à bout de souffle de temps d’effort pour résister à la douleur.  Elle semble déjà entrer dans son sub-space.

Je pris les 2 longs cierges dans mes mains et les penchai au dessus du bas de son dos.  Un long flot de cire descend sur ses fesses déjà brûlantes et se fige dans la fente entre ses fesses, sa vulve et ses cuisses.  Puis je me dirige vers son dos où la brûlure dans cette région toute neuve fût plus intense qui la fit cambrer par réflexe comme pour éviter de recevoir le liquide brûlant.  Le flot continua ce qui lui fit échapper une cri plus intense.

Je lui agrippai sa tignasse de cheveux de par derrière pris une ficelle que j’utilisai pour attacher solidement ses cheveux.  Je fouillai dans mon sac à jouet tout près pour en sortir un crochet anal et une bouteille de lub.  Je plaçai l’extrémité du crochet contre son anus et fit couler un filet du liquide lubrifiant entre son anus et le bout du crochet que je fis glisser en mouvent circulaire pour bien lubrifier l’orifice.  Je poussai doucement le crochet en elle.  Puis j’attachai solidement la ficelle fixée à ses cheveux au crochet.  Je pris ma verge bien bandée de par mon côté sadique qui a pris bien plaisir de lui donner ces châtiments et lui enfonçai toute sa longueur avec aisance dans sa chatte toute lubrifiée naturellement.  Ma verge senti la présence du crochet bien dur qui la remplissait dans l’autre orifice.

Je me mis à la prendre comme une chienne.  Elle n’a pas pris de temps pour gémir.  Mes coups de bassin donne un coup sur le crochet qui le plus plus profond.  L’entrechoquement de nos chairs fait tomber toute la cire en morceau collée à sa peau.  Ses gémissements se font de plus en plus forts tout en grimaçant.  Elle se retient de jouir parce que je ne lui ai pas encore donné la permission.  Ses mains se serrent et se relâchent en crochissant des doigts et en se tortillant les poignets en alternance.  Elle se retient mais ses yeux et sa bouche d’ouvrent tout grand et elle retient son souffle, son orgasme est imminent!  Je sentis mon plaisir monter de plus en plus.

« Vient maintenant ma petite chienne! »

Elle lâcha un long râlement amplifié par l’écho du vaste espace dans l’église.  Sa chatte déversa un liquide chaud sur moi.  Je me retirai d’elle, sautai et me plaçai debout sur l’autel pour y gicler toute ma crème chaude sur son dos et ses fesses.  Elle convulsait encore de plaisir alors je pris ma main sur sa vulve pour continuer à la masturber ce qui lui donna encore un autre orgasme et un autre flot de liquide chaud sur ma main.  Je me mis à genou devant elle, mon gland devant sa bouche.

« Maintenant nettoie moi bien ».

Malgré sa fâcheuse position et ses liens, elle ouvrit grand la bouche et pris mon gland entre ses lèvres, le suça un peu pour y évacuer le peu de sperme qui y réside dans mon urètre et lécha mon gland en tournoyant sa langue autour de mon gland.

« C’est vraiment bon offrir ma soumise en sacrifice… »

Elle me fit un grand sourire.